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Des femmes engagées !

  • France, pays des Droits de l'Homme, que fais tu des sans papiers sur ton sol ?

    politique.PNGIl va de soi que la France (comme tout autre pays européen)ne peut à elle seule regrouper et intégrer tous les sans papiers qui échouent sur nos plages et nos côtes. Ce que je réprime ici c'est le traitement infligé aux sans papiers en France. Parqués dans des CRA, Centre de Rétention Administrative, emprisonnés, enfermés, si si si, madame, monsieur, ces hommes, ces femmes et ces enfants sont emprisonnés, leur crime ?
    Avoir souhaité et voulu intégrer un pays et ses coutumes. Pour certains, ils sont en France depuis plus de 10 ans, paient leurs impôts, leurs enfants sont scolarisés dans le même collège que vos enfants, vous ne les voyez pas, et pourtant, ils vivent parmi nous, sont vos voisins parfois, ils vivent parqués, chez eux, dans la crainte d'être reconduits un jour à la frontière.


    Certains enfants n'ont jamais vu leurs pays et n'en connaissent ni les coutumes ni leur langue. Ceux ci, un jour, seront menottés avec leurs parents, conduits dans un fourgon de police (je n'en veux pas aux policiers qui obéissent aux ordres, ni aux surveillants des CRA), j'en veux à la bêtise humaine qui laisse faire sans réagir. Bien sûr, Brigitte Bardot fera la une de TF1 en sauvant ses bêtes, ce qui est tout aussi honorable, à côté de celà, les CRA s'emplissent de gens honnêtes, d'humains qui ont déjà assez souffert dans leur pays et qui sont emprisonnés, privés de liberté ?

    Récemment un bébé de 4 mois privé de liberté sur Nîmes : de quel droit ?

    Comment sont-ils venus jusqu'ici ? Ils ont utilisé toutes les filières inimaginables, vous êtes tous et toutes à des années lumière d'imaginer jusqu'où l'humain peut pousser, peut endosser comme souffrances physiques et morales pour atteindre nos côtes.Que ferions nous à leur place ?
    Un seul et même but : vivre libre !

    Qui sommes nous pour laisser ainsi de telles atrocités en 2009 se faire, sous nos yeux ?
    Nul besoin de violences, manifestez pacifiquement, manifestez de chez vous, sur vos blogs, athés, croyants, simples passants vous pouvez rejoindre les Cercles de silence qui se déroulent un peu partout en France. Ces Cercles sont organisés par les Franciscains.

    Donnez une heure par mois de silence en soutien aux sans papiers.

    Regardez une seule fois ces photos, celes ci proviennent du Centre de Rétention Administratif de Cornebarrieu dans la Haute Garonne.Osez me dire que ces camps de rétention ne vous rapellent rien.On a la mémoire bien courte en France, qui sommes nous pour accepter celà ?
    France, pays des Droits de l'Homme, dans le coeur oui et dans la réalité ? Nous n'avons pas le droit de laisser faire celà.Au nom de la dignité humaine, réclamons de meilleures conditions, des logements salubres, aucun isolement, une réintégration au cas par cas, et surtout, légiférons pour coincer les entreprises qui les exploitent encore. Donnons leurs des papiers, une carte de travail de 10 ans, qu'ils puissent travailler, élever leurs enfants sur notre sol, qu'ils puissent vivre comme nous, payer leurs impôts et consommer.

    Nous avons besoin d'eux, de leurs compétences professionnelles, de leurs expériences.
    Aidez la CIMADE, RESF, qui font un excellent travail sur le terrain, rejoignez les Cercles de silence, plus nous serons nombreux, plus on fera parler de ces actions pacifistes, plus vite nous démantèlerons ces centres et ces conditions inhumaines.

    Abrogeons l'article L622, Abrogeons la loi qui criminalise l'entraide !

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  • Projet professionnel et Portrait de Florian Silnicki

     

     
    florian silnicki.jpgTout plaquer professionnellement ! Oui, mais...Avec la nouvelle année et ses bonnes résolutions, ou bien avec lété arrive l'époque du renouveau et des envies de changer... Ainsi, combien de fois en cette période j'entends "je veux changer de boulot", "je veux changer, j'en ai marre"...
    Ce à quoi je réponds : pourquoi pas, mais pas n'importe comment et pour n'importe quelle raison ! Un tel projet implique méthode et réflexion minimales pour :
    1. Être sûr de votre choix
    2. Savoir vers quoi vous allez aller
    Donc, si l'envie vous prend soudainement de vouloir "tout plaquer", je ne vous brimerai pas mais vous dirai : "posez-vous un instant et réfléchissez à quelques points..." :

    # 1 Pourquoi je pars ?
    Tout d'abord, relativisez votre situation. l'émotionnel prend souvent dans de telles décisions une place énorme. Et certes, si l'émotionnel est ici fondamental pour vous connecter avec vos souhaites réels et internes, analysez tout de même la situation plus "objectivement" (si tant est que cela soit possible).
    Pourquoi partez-vous ? Votre boulot actuel vous ennuie réellement ou passez-vous simplement une "sale période" ? Avez-vous réellement envie de changer ou chercher-vous simplement à fuir une situation qui ne vous convient pas ? Y-a-t-il des aménagements possible à votre situation avant d'envisager de tout plaquer ?
    Notez des arguments factuels et objectifs en faveur de votre thèse... Parlez-en à vos proches, en restant centré sur vos besoins et à votre écoute.
    Si le besoin est réel et "fondé", alors passez à l'étape 2; si vous cherchez uniquement à fuir, je vous conseille d'approfondir votre analyse de la situation et des causes réelles de votre mal-être.

    # 2 Et maintenant ?
    Bien, vous savez à présent que vous souhaitez réellement ce changement. Définissez alors votre nouveau projet professionnel/de vie !
    Vous partez, oui, mais qu'allez-vous faire à présent ?
    Là aussi, discutez-en, réfléchissez par vous même, et évaluez les situations qui s'offrent à vous. Ne vous censurez pas dans un premier temps, et ensuite sélectionner le projet qui vous convient. Assurez-vous de sa faisabilité : aller au contact de la réalité du terrain (rencontre avec des professionnels, recherche d'informations...). Soyez concret !
    Lorsque tout cela vous paraît "ficelé", alors rendez-vous à l'étape 3.

    # 3 Actons !
    Posez des actes ! Avoir un projet cohérent et solide ne suffit pas, encore faut-il le mettre en oeuvre ! Alors, tout en vous donnant du temps, posez régulièrement des actes, agissez, non de manière forcenée, mais régulièrement sur la durée.
    En effet, en cas de nouveau projet, une des difficultés est de tenir sur la durée. L'enthousiasme du début cède parfois facilement et vous pouvez vous découragez. Je vous conseille donc de ne pas aller trop vite au début, de planifier les choses, de poser des actes.
     
    #4 Lisez des beaux parcours professionnelles !
    Avant de prendre votre décision, regardez les portrait de personnes qui ont une expertise métier et qui en on fait un succès. Voici par exemple, sur ce site, le portrait de Florian Silnicki.

    Alors, vous plaquez tout ou pas ?

  • Des logements récents et confortables et les constructions du Groupe Cardinal.

    groupe cardinal.jpg

     Des logements récents et plus confortables

    Le parc de logements des Hauts-de-Seine a fortement augmenté. En 1999, il y a au total 702 460 logements dans le département, soit une progression annuelle moyenne de 0,7% par rapport à 1990 contre + 0,6% entre 1982 et 1990. Cette croissance est surtout le fait des résidences principales puisque leur nombre a augmenté de 0,6% ; elles représentent 89% du parc total de logements du département (90% en 1990). La part des logements occasionnels a fortement diminué (1,6% en 1999 contre 2,4% en 1990), alors que la part des logements vacants est en forte croissance : 8,4% en 1999 contre 6,6% en 1990. Sur l’ensemble du département, comme pour le reste de la petite couronne, les résidences secondaires sont rares (1% du nombre total de logements). C’est à Neuilly-sur-Seine qu’elles sont les plus nombreuses avec 7,3% de l’ensemble des logements.

    Les Hauts-de-Seine sont un département qui compte peu de propriétaires-occupants : 37,2% des résidences principales (35,4% en 1990) sont occupées par leurs propriétaires. Selon les communes, cette proportion varie beaucoup : 23% à Nanterre, 44% à Neuilly-sur-Seine. Les logements HLM, quant à eux, ont connu une croissance de 2,3% par an en moyenne, on en compte près de 28100 de plus qu’en 1990.

    Depuis 1990, le confort des résidences principales est, de façon générale, en très nette hausse. En effet, en 1990, seuls 91% des logements possédaient un chauffage central ; en 1999, 97% en sont équipés. Cette évolution s’explique en partie par le nombre important de logements achevés depuis 1990 (65250, soit 10,4% du parc total). Ces nouvelles constructions sont souvent localisées dans des communes qui ont mis en place d’importants programmes de reconversion de zones d’activités en zones résidentielles, ou d’extension de leur parc de logements. Ainsi Issy-les-Moulineaux, Châtillon, Suresnes, Rueil-Malmaison font partie des communes où les résidences principales construites après 1990 représentent plus de 15,8% du parc total des résidences principales.

    La grande majorité des résidences principales sont des logements collectifs (85%). Cette caractéristique, partagée avec les autres départements de petite couronne, s’est vue renforcée par les constructions neuves : 92% des logements récents de moins de 10 ans sont collectifs et la grande majorité (81%) comportent 10 logements ou plus. La tendance actuelle est de construire des immeubles bas (très peu d’immeubles récents ont plus de 9 étages) mais accueillant beaucoup de logements plus petits. Ces nouveaux logements ont en moyenne 2,93 pièces, contre 3,04 pour l’ensemble des logements.

    Découvrez également dans cette article le mieux vieillir pensé dés la construction sur le site du Groupe Cardinal avec la construction Eurêka.